AG 2016

Compte-rendu de l’AG du vendredi 23 mars 2016

Point n°2 OJ – Rapport de la Présidente

À titre de présidente du Cercle des Anciens et des Amis de l’Organisation internationale de la Francophonie, j’ai le plaisir de vous présenter le rapport des activités que nous avons réalisées depuis le 22 novembre 2013.

Mais avant d’entrer dans le vif du sujet, je tiens à remercier mes collègues du Bureau ainsi que toutes les personnes qui ont collaboré et soutenu l’Association avec enthousiasme et dévouement au cours de cette période.

Pour de multiples raisons indépendantes de notre volonté, que je développe plus bas, cette Assemblée générale n’a pas pu se tenir à la date idéale, c’est à dire en fin d’année 2015.

1. Bref rappel des objectifs et présentation du CADO

Le Cercle des Anciens et des Amis de l’Organisation internationale de la Francophonie, avant de devenir une association, est un projet conçu en commun par d’anciens collaborateurs et fonctionnaires de l’OIF sur la base d’une idée simple : continuer, dans le cadre d’une association, à leur manière et avec leurs moyens, à se mobiliser pour des causes qui leur tiennent à cœur, dans le but de faire en sorte que le fossé entre les pays les plus riches et les pays les moins avancés, se réduise.

Voir détails – Annexe 1

2.Adhésions et cotisations

Le 22 novembre 2013, lors de votre dernière assemblée générale, le CADO comptait 126 adhérents. À ce jour l’Association totalise 139 membres actifs, mais n’a enregistré que 42 renouvellements de cotisations.

Unanimement les membres du Bureau avaient convenu de maintenir la cotisation annuelle à 15€ tarif membre ordinaire et 50€ tarif membre bienfaiteur. Chaque adhérent choisit librement son tarif.

3.Réunions et fonctionnement du Bureau

Le Bureau s’est réuni en autant de fois que de besoin pour le suivi des activités et des projets réalisés depuis novembre 2013. (voir détails – annexe 3)

4.Activités depuis novembre 2013

En l’espace de deux ans, nous n’avons pas ménagé nos efforts pour conduire les activités programmées, mener à bon port les projets initiés et faire face à des situations imprévues susceptibles de remettre en cause les principaux objectifs de notre association.

En 2014 :

• Opérations de lancement du chantier en vue de la réalisation du projet « La Maison des Sourires» de Battambang au Cambodge, en lien avec l’association ESK
• Établissement d’un protocole d’accord avec l’association ESK
• Organisation du troisième dîner de gala qui s’est déroulé en mai 2014
• Démarches auprès des services de l’OIF en vue de la consolidation de la base de données des anciens et des amis constituée novembre 2013
• Lancement d’un sondage sur les attentes des anciens envers le CADO (une seule réponse reçue en retour)
• Rencontres avec la sous-direction des ressources humaines en vue d’établir une coopération dans l’établissement du répertoire le plus complet possible des anciens de l’Organisation.
• Organisation d’un voyage au Cambodge, à l’occasion de l’inauguration de la MDS, pour les membres du CADO. Nous étions plusieurs à participer à la très émouvante cérémonie d’inauguration de la Maison des Sourires de Battambang (Cambodge) et ainsi mesurer concrètement combien la solidarité que votre générosité nous permet d’exercer est utile et appréciée jusqu’au plus haut niveau de l’Etat.
• Renforcement de notre communication, notamment, en reprenant en mains le site Internet
• Publication du n°5 des « Échos du CADO»
• Sollicités en juin 2014 par l’OIF, nous avons apporté notre contribution dans l’organisation de la cérémonie d’hommage aux anciens hauts responsables de l’ACCT et de l’AIF. Notre participation bénévole a largement servi à  la fourniture des photos des anciens secrétaires généraux et à la rédaction des textes du fascicule édité pour l’occasion. Nous avons aussi fournit les listes d’anciens collaborateurs qui étaient invités à cette cérémonie qui s’est déroulée le 26 juin 2014 au siège de l’OIF.
• Invitée personnellement par le Président Abdou Diouf, ancien Secrétaire général de l’OIF, la Présidente du CADO a pu suivre les travaux du XVème Sommet de la Francophonie de Dakar et, à cette occasion, j’ai pu me rendre à Saint-Louis,  le 2 décembre, accompagnée de quelques membres du CADO pour organiser et effectuer le lancement officiel du chantier de la rénovation de l’Ecole Emile Sarr (ex Brière de l’Isle).
• De même, nous avons été sollicités pour fournir une liste d’anciens collaborateurs à inviter à l’émouvante cérémonie d’hommage de l’OIF au Président Abdou Diouf, à laquelle nous avons assisté le 12 décembre 2014 au Musée du Quai Branly.

En 2015 :

Parmi les raisons multiples évoquées plus haut, je citerais principalement la gestion de la réhabilitation de l’école Emile Sarr de Saint-Louis du Sénégal, projet d’envergure considéré aussi comme un défi, qui a fait l’objet du troisième diner de gala que le CADO a organisé au mois de mai 2014. Comme nous l’anticipions, ce projet a été très lourd à porter.

Par sa nature, car nous ne sommes en aucune façon des spécialistes de la construction ou de la rénovation immobilière;

Par son organisation, car nous n’avons pu nous appuyer sur une association locale et avons donc dû traiter directement avec l’entrepreneur et assurer le suivi du chantier.

Par sa dimension, car le chantier prévu était de grande envergure, concernait un bâtiment historique et nous engageait vis-à-vis de l’équipe pédagogique et des élèves.

Parallèlement à ce défi, nous nous sommes occupés de :

• L’organisation de la cérémonie de pose de la première pierre du chantier de réhabilitation, qui s’est déroulée le 5 décembre à Saint-Louis du Sénégal.
• Des consultations en vue de constituer une équipe de personnes de confiance pour relayer bénévolement le CADO au Sénégal dans le suivi des travaux du chantier, ceci afin d’éviter des frais de fonctionnement et autres dépenses engendrées par une activité de cette nature.

Je rappelle à cet effet que nous avons mis un point d’honneur à ce que chaque euro reçu soit parfaitement utilisé, à ce que tous les travaux prévus soient exécutés dans les règles de l’art, à ce que l’ex-Ecole Brière de l’Isle retrouve son lustre d’antan, pour le plus grand bénéfice de ses 540 élèves.

Plus récemment, fin 2015, nous nous sommes totalement investis dans :

• L’organisation de la cérémonie d’inauguration de l’école Émile Sarr à Saint-Louis du Sénégal, qui s’est déroulée le vendredi 18 décembre 2015
• L’organisation d’un voyage au Sénégal, pour les membres du CADO, à l’occasion de la cérémonie d’inauguration de l’école Émile Sarr à Saint-Louis du Sénégal

En plus de ce qui précède, nous avons rencontré les nouvelles autorités de l’OIF, afin de leur présenter le CADO. Au delà de leurs aspects protocolaires ces rencontres étaient primordiales à toute reprise d’activités dans les locaux de l’OIF. Pour des raisons d’agendas ces premières prises de contact n’ont pu se dérouler qu’en septembre 2015 (audience avec Mme la Secrétaire générale de la Francophonie, suivie des rencontres avec l’Administrateur et le Directeur de Cabinet de l’OIF ).

Dans ces circonstances, nous avons bien conscience d’avoir mis entre parenthèses d’autres activités de l’association :

• la tenue de l’assemblée générale des membres repoussée à 2016,
• l’identification d’un quatrième projet de solidarité,
• l’enrichissement de l’annuaire des anciens de l’OIF, ou l’avancée de dossiers sur lesquels nous avions pris des engagements tels les assurances sociales,
• l’information régulière des membres, les activités sociales ou culturelles ou l’amélioration du site Internet … et donc peut être suscité l’irritation de certains !

5.Projets et perspectives (Voir détails – Annexe 2)

Parmi les projets énumérés à l’annexe 2, j’attire particulièrement l’attention de l’Assemblée sur la création d’antennes ou de sections du CADO. En effet, il nous est apparu que l’association gagnerait en donnant l’occasion aux anciens et aux amis vivant hors du siège, de participer aux activités, en conformité avec nos objectifs. Ces antennes ou sections seraient des «représentations» du CADO. Du fait qu’elles ne disposeront pas d’une personnalité juridique à part, elles fonctionneront donc sous l’entière responsabilité de l’association et du Bureau. Aujourd’hui les conditions sont réunies pour proposer la création de l’antenne Amérique du Nord. Francine Bolduc, en assurait l’animation.

6.Election et Composition du Bureau

Suite au désistement de l’un de ses membres, et du décès de notre ami Stanislas Zalinsky, nous avons consolidé l’équipe en accueillant parmi nous des collègues qui sont spontanément venues en renfort malgré leurs occupations.

Nous sollicitions d’autres candidatures pour consolider l’équipe et nous permettre de déployer davantage nos activités.

• Partenariats

Comme vous le savez, pour mener à bien ses missions, l’Association doit établir des partenariats, (voir liste ci-dessous) afin d’obtenir des financements pour assurer son fonctionnement, réaliser les projets qu’elle soutient et réussir la communication sur son activité.

Partenaires « prestige »

• Organisation internationale de la Francophonie
• Manhattan
• Jeune Afrique
• Ecoles des Arts Visuels TAGGAT
• TSE Sénégal
• Jeux de la Francophonie
• Alia Consulting
• Partenaires « associés »
• Frequent Flyer Travel Paris 
• Ville de Liège
• Villa Racine Dakar
• La Maison Taittinger
• Château Léoube
• Air Vietnam
• Hôtel Mercure Hanoï
• Établissements Raffles
• Ambassade du Cambodge à Paris

Partenaires « Médias »

• Espace Francophone
• UBIZNEWS
• Diaspora News

Marie-Louise Akondjia

Présidente

Annexe 1

Présentation du Cercle des Anciens et des amis de l’OIF (CADO)

En 2011, s’est constituée, aux côtés de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), une association sans but lucratif de droit français, régie par la loi du 1er juillet 1901, (cf. ci-joint statuts du CADO) dénommée le Cercle des Anciens et des amis de l’OIF (CADO), qui regroupe des anciens fonctionnaires, des collaborateurs et des amis de l’OIF. Son siège est basé dans les locaux de la Maison de la Francophonie – 19-21 avenue Bosquet – 75007 Paris.

Grâce au soutien de l’OIF, nous avons effectivement créé cette association qui se donne pour mission d’initier ou d’apporter son soutien à des micro-projets de développement à dimension humanitaire, culturelle ou sociale et de tisser un lien entre les centaines d’anciens fonctionnaires et les amis de l’Organisation.

Le CADO s’attache de plus à valoriser et à mobiliser l’expertise de ses membres au bénéfice de l’Organisation internationale de la Francophonie et des pays membres.

Notre association compte actuellement environ 139 membres actifs près de 400 anciens collaborateurs répartis dans le monde.

L’implication dans des projets humanitaires fournit l’occasion aux anciens fonctionnaires de l’OIF de rappeler l’importance de l’esprit de solidarité qui anime la Francophonie et qui a émaillé toute leur carrière.

C’est dans cet esprit que le CADO a organisé depuis sa création, chaque année, un dîner de gala de bienfaisance dans l’objectif de récolter des fonds au bénéfice de projets de solidarité :

Ce fut le cas :

• En mars 2012 pour le projet Ijambo de Rutana situé dans l’est du Burundi
  Nombre de convives : 200
  Dons collectés : 30 000€
  Objectif : appuyer le travail d’une association de femmes au Burundi et leur offrir les moyens de renforcer leurs capacités via une formation et une information adéquates.
  Réalisation : Construction d’un centre communautaire socioculturel à Rutana (Burundi) dont la mission est de former et d’informer les femmes de la communauté rurale.
  Équipement d’un espace multimédia
  Centre Ijambo fut inauguré le 15 octobre 2013 en présence du ministre des relations extérieures du Burundi
  Suivi des activités effectué annuellement

• En juin 2013 pour récolter des fonds au bénéfice du projet La Maison des Sourires, à Battambang, dans une région du Cambodge proche de la frontière avec la Thaïlande
  Nombre de convives : 180
  Dons collectés : 20 000€
  Objectif : construire un centre d’hébergement « en dur »  pour une vingtaine d’enfants défavorisés, âgés de 2 à 15 ans, suivis quotidiennement par l’association “Enfants du Sourire Khmer” (ESK).
  La Maison des sourires fut inaugurée le 15 novembre 2014 en présence du haut représentant de Sa Majesté Norodom SIHAMONI et de la Représentante régionale pour l’Asie et le Pacifique de l’OIF.
  À cette occasion, une audience a été accordée par sa Majesté Norodom SIHAMONI à la présidente du CADO, le jeudi 13 novembre à 11h00 au Palais Royal

• En mai 2014 notre association s’est tournée vers le Sénégal
  Nombre de convives : 400
  Dons collectés : 47 000€
  Objectifs : réhabilitation de l’école Émile Sarr ex-Brière de l’Isle de Saint-Louis, un projet de solidarité d’envergure orienté vers la jeunesse francophone et en particulier à 540 élèves qui fréquentent cet établissement
  Cérémonie de lancement des travaux de réhabilitation au mois de décembre 2014.

• En 2015 : suivi des travaux de rénovation (le CADO est maître d’ouvrage)
  La rénovation du bâtiment principal, ainsi que des deux annexes, est achevée.
  Réception du chantier effectuée le 1^er septembre
  Cérémonie d’inauguration s’est déroulée le 18 décembre 2015 à Saint-Louis du Sénégal

Pour 2016

Nous poursuivons l’analyse des dossiers pour l’identification d’un projet et du pays francophone bénéficiaire 

Dîner de gala 2016 : période à déterminer

Le CADO est animé uniquement par des bénévoles.

Composition actuelle de l’équipe du CADO :

• Madame Marie-Louise AKONDJIA, Présidente
• Madame Francine BOLDUC, Vice-présidente
• Monsieur Jean Claude CREPEAU, Trésorier
• Monsieur Jacques DECK, Administrateur
• Madame Dominique GIRAULT, Secrétaire

Le site (www.cado-int.org) offre davantage d’informations sur notre association.

Annexe 2

PROJETS ET PERPECTIVES – PLAN D’ACTION 2016 – 2017

• Poursuite de l’examen des dossiers pour l’identification du projet de solidarité à soutenir en 2016 – pays francophone bénéficiaire : Madagascar
• Recensement de tous les anciens de l’OIF afin de leur donner l’occasion de participer effectivement à notre projet et de maintenir les liens sociaux et amicaux
• Dîner de gala 2016 pour la collecte de fonds en faveur du projet 2016 : date à déterminer
• Concertation avec l’Administration de l’OIF en vue d’une offre avantageuse et accessible aux anciens, pour une continuité de la couverture des risques maladie
• Préparation et tenue de l’Assemblée générale du CADO
• Production et publication des « Échos du CADO », bulletin d’information destiné aux membres et aux sympathisants
• Recherche d’une personne ressource expérimentée pour un appui à la gestion du site Internet de l’association
• Organisation de diverses activités culturelles ou sportives, pour donner l’occasion aux anciens et actuels fonctionnaires de l’OIF de se retrouver périodiquement 
• Création d’antennes ou de sections du CADO, qui seront des « représentations » de l’association.
• Suivi des projets réalisés au Burundi, Cambodge, Sénégal, par les membres du CADO
• Organisation  d’une activité avec les anciens (dîner, déjeuner, activité sportive, culturelle, etc)
• Réflexion en concertation avec l’Administration de l’OIF pour proposer à Madame la Secrétaire générale, un schéma d’actions en vue d’élargir l’onde de choc de l’action de la Francophonie avec la collaboration des anciens de l’OIF et des membres du CADO répartis dans le monde.

Annexe 3

Rencontres et Réunions effectuées par les membres du bureau

Annexe 4

Le CADO et l’OIF

Le CADO ambitionne de représenter l’ensemble des anciens fonctionnaires de l’OIF auprès de leur ancien employeur.

Par ancien fonctionnaire, il faut entendre toute personne ayant travaillé à un moment de sa vie professionnelle pour l’Organisation, aussi bien dans le cadre d’un emploi à durée déterminé que dans le cadre d’un emploi longue durée auquel il a été mis fin par un départ à la retraite.

Autant le vivier des anciens – dont certains occupent par la suite de hautes fonctions dans leur pays d’origine ou dans d’autres structures internationales – peut être une richesse pour l’Organisation, autant l’Organisation gagnerait à améliorer son image auprès des anciens pour tirer pleinement parti du potentiel du CADO. Nos échanges fructueux du 4 septembre dernier, lors de l’audience avec Madame la Secrétaire générale, nous confortent dans cette conviction. En effet, pour citer Madame Michaëlle JEAN, les anciens répartis dans le monde sont considérés comme des ambassadeurs de l’OIF, en somme, des militants pour le rayonnement de la Francophonie dans le monde.

Si les membres du CADO restent fidèles aux missions de la Francophonie, en apportant par exemple un soutien à des projets de solidarité à dimension culturelle ou sociale, nous rencontrons cependant nombre d’anciens qui sont meurtris par les conditions de leur séparation avec l’Organisation, soit qu’ils ressentent comme une injustice la façon dont il a été mis fin à leur emploi au sein de l’OIF, soit qu’ils ressentent comme un abandon la rupture brutale que représente la mise à la retraite telle qu’elle est pratiquée par l’OIF.

Cette situation qui freine la pleine représentativité du CADO nous préoccupe et nous sommes volontaires pour travailler de concert avec l’Organisation à faire changer les choses. Ce travail contribuerait fortement à concrétiser, auprès des anciens collaborateurs de l’Institution, l’idée de Madame la Secrétaire générale de rassembler tous les opérateurs, y compris le CADO, dans un espace de résonance de l’OIF susceptible d’élargir l’onde de choc des programmes (ou projets concrets).

Nos propositions

Elles sont de deux ordres : structurelles et psychologiques.

• Donner un statut au CADO dans la vie interne de l’Organisation. Si le CADO a toujours bénéficié d’une oreille attentive au sein de l’Organisation (et même pu largement profiter de la logistique de l’OIF), nous considérons qu’il serait sain d’organiser les relations entre l’OIF et l’association représentant les anciens. Une reconnaissance du CADO nous permettrait, sans interférer sur la politique de l’Organisation, de faire entendre les préoccupations des anciens.
• Accorder un minimum de moyens de fonctionnement au CADO. Nous croyons que l’efficacité du CADO serait amélioré avec quelques outils : un lieu pour conserver les archives de l’association, permettre la concertation entre les élus de l’association, renseigner les membres ; quelques heures de secrétariat par semaine pour aider l’exécutif de l’association dans les taches cléricales ; une assistance technique pour faire vivre nos outils de communication (site internet, échos du CADO, réseaux sociaux … etc.).
• Associer le CADO au processus de départ des agents, lorsqu’il n’est pas consécutif à une rupture brutale du contrat de travail. Nous pourrions sur un tel dossier travailler en étroite collaboration avec le Comité du personnel et la DRH. Il s’agirait, sans aucun caractère d’obligation, d’aider les agents qui le souhaitent à mieux appréhender les différents aspects de la fin du statut de salarié de l’OIF.

Parmi les points qui nous préoccupent particulièrement : la continuité de la couverture des risques maladie, la gestion du capital départ, la relation avec de nouvelles autorités nationales en matière de prestation sociale, le maintien de liens sociaux et amicaux.

• Associer les anciens aux grands évènements de la vie de la Francophonie. Nombreux sont les anciens qui ont donné de nombreuses années de leur vie à l’OIF et qui ressentent douloureusement d’être, du jour au lendemain, ignorés par l’institution.

Nous pensons que l’OIF se grandirait en leur offrant la possibilité de participer aux évènements marquants de la vie interne de l’organisation : Journée internationale de la Francophonie, remise de la médaille Senghor, célébration de certains anciens … etc.

• Le CADO pourrait se faire l’interface de l’OIF vis-à-vis des anciens sur ces manifestations.